un étange arrivant

Le jour commençait, un de plus pour minas thirit sous la menace de l’Ennemi. Le soleil éclairait à peine les champs du Pelennor était vide, ou du moins presque. Un des gardes regarda ces champs, puis remarqua une silhouette bougée dans la pénombre de la plaine.
Enlevant la possibilité d’une attaque, il regarda l’homme qui semblait marchait de travers puis s’écroula. Le soldat prévenu les autorités qui envoyèrent une patrouille de cavaliers. Ces fiers cavaliers en armures d’argent allèrent vers l’homme puis le ramenèrent à la cité blanche.
Il fut conduit à la maison des guérisseurs. C’était un homme grand, fin et musclé. Une longue barbe ornait son menton, ses cheveux noirs devenaient interminables. Ses lèvres étaient gonflées par la soif et ses yeux marron foncés creusés par la fatigue. Il semblait venir des terres du sud, il devait sans doute avoir marchait des jours. Dans son sommeil il semblait délirer, et parler dans une langue incompréhensible en répétant souvent le mot « enophis » et celui de « Menoïs ».
Puis il réveilla, quelques jours plus tard, dans l’un des salles communes de la maison de guérison, la lumière du soleil pénétrait par de larges fenêtres et illuminée la pièce. Il se leva et regarda le jardin d’où des chants d’oiseaux venaient bercés l’oreille des malades. L’homme se retourna, puis demanda :
« Où suis-je ??? »

Ithilwen entendit le jeune homme bouger dans son lit et se demander où il se trouvait. Il faut dire qu'il avait été amener ici dans un sale état, grande déshydration et épuisement ainsi que délires. Elle et sa collègue Morwen s'était occupée de lui à tour de rôle en le veillant vu qu'il avait un sommeil assea agité. L'elfe déposa son plateau sur une table haute et vint se poster devant lui.

"Bonjour" lui dit-elle d'une voix douce "Vous êtes au Gondor dans la cité Blanche de Minas Tirith et plus précisément dans les Maisons de Guérisons où pendant les quelques jours qui ont suivi votre arrivée vous avez reçu des soins nécéssaires, vous étiez plutôt mal en point" lui dit-elle avec un pauvre sourire

"Je me nomme Ithilwen et si je puis vous aider je le ferais avec plaisir" dit-elle en s'inclinant légerement "Mais vous devez boire beaucoup " dit-elle l'air contrite "vous êtes encore déshydraté," et elle lui tendit un gobelet d'argent remplis d'eau et d'une substance revigorante. Une fois qu'il ait bu elle lui demanda doucement

"Puis-je savoir votre nom?"

Merci Ithilwen, répondit l'inconnu je me nomme Se... Scar, oui scar c'était mon nom. Le Gondor, le gondor...
Il répetat plusieur fois le nom de la cité, tout en buvant. Puis il se leva et décida d'aller se promener dans les jardins. il paraissait ancieux, il évita tout contacet avec le reste des malades acceptant seulement la présenced'Ithilwen, dont il regardait toujours le visage avec étonnement. Scar caché sa vrai identité à tout le monde car si il était démasqué, un homme du Sud peuple serviteur de Sauron il ne ferrait pas long feu deans la cité du moins tant qu'il ne serait pas soigné.
Il évita de parler sa langue natale, même seul. Il semblait être jeune. Mais il se disait age, et il ne faisait que l'écouter pour comprendre que soit il l'était soit le voyage l'avait vielli.
si on lui demandait d'où il venait, il disait un village à l'extremité du royaume de Gondor. esperant qu'il ne sera pas découvert par cela

Après plusieurs jours à la maison des guerriseurs le nommé Scar alla voir Ithilew.
- Ma Dame, il faut quie je vous parler.
elle accepta de l'entendre, tout en se tournant vers lui, ses yeux se posèrent sur son torse plus particulièrement un signe qu'elle n'avait jamais vue: Un oeil gravé au fer avec devant une lame dont sa pointe reflétait la lumière d'un soleil qui se levait derrière cet oeil. Il remarqua son regard, d'un coup il prit sa vieille chemise et la mit. Il souria à Ithilwen un peu géné puis se mit à parler
-J'aimerais savoir si mon état me permet de reprendre la route ou si je dois rester encore un peu ici, dans la capitale du Gondor???
Bien sur vous avez rien vu sur l'insigne n'est pas.

Ithilwen remarqua le tatouage mais n'en dis pas un mot et ne broncha pas non plus, pendant que le jeune homme posait sa question elle réfléchissait à toute vitesse. Les éléments qu'il lui avait dit le concernant était plutôt contradictoire...Il disait venir d'un villag éloigné du Gondor or pour être dans cet état de déshydratation et de fatigue il aurait du marcher plus longtemps que ça et surtout pourquoi aurait-il quitté son village, aucune attaque n'avait eut lieu, pourquoi autait-il donc fui? Et cette langue étrange dont il s'efforçait à ne presque pas parler et sans compter sa peau basanée que ici personne ne possédait et pour finir le tatouage qu'elle venait de voir qui d'ailleurs n'en était pas vraiment un....

Après ce court moment d'absence elle lui répondit:

"Jeune homme, j'aimerais m'entretenir à part avec vous de heu...votre état" finit-elle par dire sans conviction, "venez, suivez moi au fond du jardin," là elle s'adossa à la balustrade un instant puis le regarda et prit la parole

"Je vais sûrement vous paraître indiscrète mais je désire vous aider avant tout car j'ai pressenti que vous étiez perdu, peut être ais-je tort mais je désire savoir la vérité" dit-elle en se tortillant les mains "Je ne suis pas quelqu'un de mauvais, loin de là sinon je ne serais pas ici à soigner les gens, si ce que je découvre s'avère vrai et que vous désirez que cela reste secret, je me tairais, je fais honneur à ma parole toujours" dit-elle en le regardant dans les yeux.

Scar restait de marbre devant elle, la fixant de ces yeux sombres mais l'air nerveux.

"Bien" dit-elle "Je me lance, j'ai des doutes quant à vos origines, vous dites venir d'un village éloigné du Gondor, or au Gondor on ne parle pas de cet étrange langue que vous vous efforcez à cacher, on ne porte pas non plus de tatouages et surtout pas marqué au fer...Les gens n'ont pas non plus la beau si basané même si ils ont travaille longtemps aux champs sous le soleil ardent, vous essayez de cacher bien des choses et même vous étiez hésitant à dire votre nom.Surtout ne vous offusquez pas et n'ayez pas peur, je ne suis pas en train de vous accuser ni de vous juger j'essaye de voir clair c'est tout et maintenant dit-elle plus doucement je pense que vous venez du pays d'Harad et elle se tut laissant le vent siffler à leurs oreilles, elle observait son patient puis reprit

"Quant à votre question, oui vous êtes aptes à quitter la citée, vous êtes en bonnes conditions physiques, la seule chose à faire est de boire beaucoup pour toujours continuer à vous réhydrater et je vous donnerais de ma potion reigorante vous êtes encore un peu fatigué, cela vous aidera"

Elle se dirigea vers les Maisons de Guérisons et dit alors " Tenez moi au courant face à ce que je vous ais dit, de toute manière je n'en soufflerai mot à quicquonque mais prévenez mou ou non si vous désirez me parler et si vous voulez partir, je vous laisse méditer ce que j'ai dit"

Et elle s'éloigna le coeur plus léger d'avoir dit ce qu'elle penssait.

Scar après un court moment, couru à la suite d'Ithilwen, la prit fortement par le bras, la plaqua sur un mur. Lui dit d'un ton sec et rapide

- je vois que vous avaez l'esprit perspicasse et que vous aimez la vérité. mais toute verité n'est pas bonne à savoir. Mais si vous y tenez!!
Oui je viens d'Hrad, oui je fais parti du peuple serviteur de Sauron! Je sais qu'ici on n'aime pas entendre ce nom
Dit-il avec un airsournois voyant la guerisseuse se drésse en entendant le nom de l'Ennemi. Il lui tourna le dsos un instant et sans la regarder continua d'un ton grave après un soupir

-Il y a pire que ce que vos déductions ont supposé. Pour être franc je suis du moins j'était un réel serviteur contre votre peuple. J'était champion dans une legion appelée "Le Vent du Sud". Ainsi sous ma lame et au nom du Seigneur des Tenebres des hommes du gondor sont mort, et pas seulement un. Je les ai tué dans pleuré j'en était même heureux jusqu'à l'heure où par ma main le seul être que je ne voulait pas la mort à succomber.
Après cela et une embusca de soldat de ton peuple, dont aucun ne reviendra sur ces terres. J'ai décidé non pas de me ranger car vous ne me pardonnerez jamais, amis de errer pour me racheter envers trois peronnesqui sont mort.
Voila pourquoi j'ai quitté l'ombre de Sauron. Mais que maitenant selon se que vous décidez, je dois aller à l'ombre du'ne prison ou que mon corps servent de nourriture aux rapaces sachez que cela sera après la mort d'innocent ou de vous.

Vous pouvez partir le sot de ma vie et entre vos mains.

Ithilwen fut saisie par le ton véhément et la réaction violente qui suivis son discours qu'elle avait fait, elle voulut répliquer et même se défendre mais il devint plus calme et expliqua pourquoi il était là et ce qu'il avait fait.

"En effet" dit-elle après un court moment de blanc "J'aime la franchise et je suis servie penssa t'elle et aussi Nous n'aimons pas les Serviteurs de Sauron et à juste titre parce qu'ils pillent et tuent uniquement pour le mal, pour le plaisir comme vous l'avez dit vous même d'ailleurs rajouta t'elle ou pour la richesse" dit-elle écoeurée

Elle respira un bon coup puis poursuivit

"Je ne vous en veut pas particulièrement, vous n'êtes pas le premier ennemis que je croise et ce n'est pas parce que vous avez servi Sauron le Prince des Ténèbres que je vais vous tuer ou vous dénoncer, cela ne ramènera pas la vie de ceux qui sont morts" dit-elle froidement

"Le fait est que je ne vous dénoncerais pas surtout parce que vous venez de me prouver que vous avez encore de l'humanité en vous puisque vous regrettez la mort de trois personnes et que vous êtes prêts à vous racheter pour cela et surtout aussi parce que j'ai promis de garder votre secret, n'oubliez pas que je fait honneur à mon peuple qui sont certainement plus sages que certaines personnes aptes à juger et que je fait aussi honneur a ma parole!!! Si vous êtes prêt à me tuer, faites le donc!!" dit-elle ironiquement, "cela ne paraîtra pas inaperçu et vous serez certainement arrêté avant de vous enfuir d'ici"

Elle reprit plus doucement

"Je suis prête à vous aider malgré vos menaces et malgré votre passé parce que justement je ressens de la bontée encore en vous, vous pouvez peut être en rire mais je n'ai plus rien qui me reste sur Arda à part mon peuple, ma citée et mes connaissances médicales ainsi que mon amitiée et mon aide à offrir, si vous la refusez je ne vous en voudrais pas mais sachez une chose je ne vous dénoncerais pas" dit-elle en articulant chaque mot avec lenteur " maintenant veuillez m'excuser des patients m'attendent...et ah oui une dernière chose dit-elle en se retournant "ne me maltraitez plus jamais, vous pourriez être surpris de ce que cela peut donner" dit-elle fièrement.Et elle repartit dans les maisons de guérisons

Scar la ragarda partir
-qui est de nous deux le moins cruel, qui est la plus civillisé? elle ou moi, elle prétant que c'est elle mais elle ne connait rien de mon peuple.
Pensa t-il.
deux jours plus tard en pleine nuit, quand son état s'était beaucoup amélioré il alla la voir. elle dormé tranquillement sereinement quand une main vint se poser sur son épaule. Elle se reveilla en sursaut la main se tendit squr sa dague qui se trouvé dans la main de Scar.
- Désole de vous reveillez. Je ne viens pas pour vous tuer rassurez vous dit-il en posant l'arme sur la table
-Voila Ithilwen mon état est beaucoup mieux que quand je suis arrivé. Je vais donc partir pour éviter que les gardes viennent me questionner sur le village.
Je pars la seule chose que je vous demande c'est si les gardes me demande dite leur que je suis toujours dans la ville.
Merci pour tout pour votre discretion et votre comprehension.
Mais sachez que mon peuple n'ets pas un monde de brute quand vous irez dans la ville d'Harad où le port d'Umbar dont le phare illumine les eaux. Vous verrez les beautés de mon peuple et vous comprendrez que si les haradrims sont aux ordres de l'Oeil c'est parce qu'il nous a longtemps dominé contrairement au Orientaux qui eux veulent vous annéantir.
a de plus si on vous demande des nouvelles du village d'où je "viens" dit leur qu'il ne reste que des ruines me ne dit pas que c'est moi qui l'a detruit....

Il souria à la seule peronne qui l'avait accepté sans le comprendre. Puis il se retrouna et parti sans prendre en garde les dires d'Ithilwen. marchant devant les gardes de la porte de la cité Blanche. Caché par une grande cape dont la capuche était relevée, il leva se tête et regarda l'horizon et parti en direction du Rohan.. Chaques pas l'éloignaient de la cité du Gondor.

Ithilwen s'était montrée trop froide et cruelle dans sa manière de parler et elle réalisait maintenant qu'elle avait fait défaut à l'un de ses principes "Ne pas juger sans connaitre la personne". La colère l'avait emporté sur le calme pour deux raisons "l'ennemi n'épargnait personne" et surtout elle s'était sentie menacée et blessée dans son orgeuil.

Elle ne lui parla plus, elle se sentait encore trop fière pour aller s'excuser et même elle avait fait clairement comprendre qu'elle ne ferait pas le premier donc cela resta comme ça jus'à ce que deux jours plus tard, pendant la nuit elle sentir quelqu'un s'approcher d'elle.

Comme elle dormait dans l'infirmerie cette nuit là, elle avait pensé qu'il s'agissait peut être de sa collègue Morwen mais quand elle senti une main se poser sur elle, elle s'empara immédiatement de sa dague mais elle se retrouva très vite désarmée "Honte à moi" penssa t'elle. Heureusement elle entendit une voix familière la rassurer qu'elle ne serait pas tuée.

Elle s'asseya dans son lit et écouta le récit de Scar sans bouger, ni sans parler, pour finir quand il se retourna pour partir, elle lui dit doucement:

"Je ferais ce que vous m'avez demandé de faire et ce sans rancune. Vous ne devez d'ailleurs pas me remercier, je pense vous avoir mal jugé, veuillez m'en excuser, j'ai dit que mon peuple était sage mais je me suis comportée comme la dernière des imbéciles, d'habitude je ne fais pas cela. Veuillez accepter mes excuses et oui peut être qu'un jour je visiterais votre pays, si je ne fais pas lyncher vu que je suis une elfe, je suppose que je ne serais pas la bienvenue. Veuillez aussi accepter mes voeux de chances, vous n'êtes pas quelqu'un de mauvais je pense et vous ne méritez pas de croupir dans une prison ni d'être pendu à un gibet.

Elle marqua une pose "Puisse Elbereth vous protéger sur les chemins de votre vie maintenant et qui sait nous reverrons nous un jour, " puis elle se recoucha le laissant partir dans la nuit noire

Elle chuchota doucement "Namarië, jusqu'à une possible prochaine rencontre"