Le siège d'Edoras

Notre groupe venait d'arriver à environ deux heures à pieds de la cité d'or...

*J'ai les jambes en compote, heureusement qu'on arrive tôt, on aura le temps de se reposer !*

Le camps des uruks n'était pas très anîmé mais il y régnait une bonne ambiance et une odeur de fète guerrière s'y faisait sentir.
Les bruits quant à cette invasion rapide n'allait pas tarder à courir et les charognards de Morgul ne manqueraient surement pas d'en profiter !
Mais il n'y a pas que les orques qui répondront à cette affront et Alucard le savait : si le siège tardait trop, les elfes allaient surement réagir ... Mais aussi, et c'est peut-être le pire, le Gondor !
Bref, toutes ces idées trottaient dans ma tête alors que je me pressais autour du feu de camp pour y lamper de la bonne bière naine piquée je ne sais où par d'autres uruks il y a quelques lune.

Etant tout de même un vieux uruk-haï, j'avais le privilège de siéger au conseil de guerre des uruks.

"-Nos éclaireurs ont vus une forte troupe d'elfes s'installer plus loin dans la plaine et ils sont en train d'organiser leur camps... D'après Morgul, les positions des hommes se sont affaiblies légèrement au sud pour envoyer des hommes au Rohan et nous pensons qu'ils seront ici dans peu de temps.

-Nos troupes ne sont pas encore rassemblée nous ne pouvont lancer l'assaut maintenant !

-Mais de toute façon, les elfes empêcheront nos troupes d'accéder au camp !

-Je pense que si les elfes nous attaquent pendant l'assaut de la cité, nous nous feront massacrer comme des larves, on ne peut donc pas prendre le risque.
Cependant, il nous faut agir avant l'arrivée des hommes car sinon, nous seront trop peu nombreux pour pouvoir faire face à la coalition !
Donc, je propose de lancer un assaut conjugué sur les elfes avec l'aide des forces qui doivent nous rejoindre, puis dans la continuation, lorsque les elfes seront en déroute, nous attaquerons la ville par la porte principale. Quand les hommes arriveront, ils ne trouveront ainsi qu'un tas de cendres et de cadavres !

-Je propose plutôt de commencer l'assaut sur la ville par un pillonage qui devrait commencer dès maintenant. Puis après deux jours, de lancer l'assaut sur la ville pendant que les uruks qui doivent nous rejoindre occuperons les elfes dans une diversion en attaquant les elfes dans leur base. Mais je suis aussi d'avis qu'il faut agir avant que les hommes n'arrivent.

-Alors chef, quelle sera votre décision ?

-Nous adopterons la seconde stratégie d'offensive.

-Pour la gloire de Sarumane !"

Le conseil se sépara et chacun alla à ses préparatifs.

Les ingénieurs mirent les balistes et les catapultes hors de portée des archers de la citée mais à portée de ses murs pour pilonner la ville.
Les catapultes étaient manipulées par des ingénieurs orques qui avaient eux-mêmes fabriqués les machines.

Le pilonnage commença. La citée fut en feu en moin de quelques heures.
Le capitaine passa en alors en revue les troupes disponibles :
Nous disposions d'environ quatre milles uruks autour de la citée et de 2500 uruks derrière les lignes des elfes.
Quant aux machines de guerre, nous avons déployés 10 balistes à modèle isengard et 5 catapultes du Mordor.

Nous avons élevé des palissades à la va-vite plus tôt dans la matinée du côté des elfes ce qui m'avait valut quelques échardes mais ce n'était rien.

Ithilwen revint vers son campement avec Morwen et remarqua grâce a sa vue perçante que des pallisades aveient été érigées, elle s'en trouva fort inquiétée...

"je me demande ce qu'ils peuvent bien préparer" dit-elle songeuse a Morwen en regardant au loin...

"Je l'ignore" répondit Morwen tout aussi inquiète à présent, après la joie des retrouvailles voilà les inquiétudes qui revenaient.

"Nous devrions aller voir les chefs, je crois que gandalf est arrivé, il nous faut une stratégie"

Elles se dirigèrent toute les deux vers Gandalf qui arrivaient au galop...

Il s'agissait maintenant de prévenir les autres uruks de notre plan d'attaque. Une centaine d'uruk passèrent la palissade et tentèrent de percer la défense des elfes qui ne semblaient pas du tout préparés à une sortie de notre part.

Ithilwen discutait avec Gandalf et Morwen, lorsqu'elle entendit des cris féroces et des flèches siffler autour d'elles et sur le camp de ses compatriotes...

Elle courut à toute haleine en prenant son arc et en encochant une flèche qu'elle tira et qui alla se ficher en plein milieu du front d'un Uruk qui passait la palissade.

Elle entrevit le Capitaine Haldir de la Lorien secouer les troupes et leur donner des ordres pour défendre leur campement, elle passa en trombe devant lui n'écoutant que d'une oreille ses avertissements de sécurité.

"Toujours dans mes pieds celui là" pensa t'elle "quand comprendra t'il que je ne resterais pas sans rien faire face à l'attaque de mon peuple..."

Elle décocha flèche sur flèche ainsi que touts les autres archers elfes et hommes qui s'y mettaient, la pluie de traits qui se déversaient maintenant sur les uruks les décimaient, ils décidèrent pour le moment de battre en retraite...

Notre tentative de prévenir les autres uruks de nos agissements et du plan d'attaque était maintenant échouée et il nous fallait préparer un plan d'attaque différent et qui se baserai sur les instinct guerrier des autres...

Maintenant que le Gondor était là, il fallait attendre. Mais les chefs en décidèrent autrement.

Et c'est aisi qu'en plein mileu de la nuit :

-Levez-vous vermines ! Je veux un maximum d'arbalétrier pour attaquer la citadelle ...
Les autres vous restez à distance et vous vous préparez à l'assaut. Je veux quand même une garnison suffisante pour protéger la palissade. Si on a de la chance, les uruks qui sont de l'autre côter verront l'attaque et feront de même du côté des elfes.
A l'assaut ! ... Préparez le bélier.

Et environs 500 arbalétriers se déplacèrent en direction de la porte de la citée fortifiée.

L'espace devant la porte était maintenant presque sécurisé, et les troupes étaient prettent à monter à l'assaut.
L'assaut des elfes sur la palissade qui avait été prévu par les chefs n'avait pas encore eu lieu.
C'est à ce moment que le plus grand de nos capitaines hurla :

"-En formation tortue ! Protégez le bélier !"

Le bélier monta la pente, quelques uruks mourraient en se déplaçant mais la stratégie fonctionnait. A peine dix minutes s'étaient écoulées lorsque le premier coup de bélier retentit dans la plaine.
La porte n'allait pas tarder à céder et nous allions enfin avoir un peu à manger et un peu d'action !

*Je commençais à avoir les membre engourdis !*

Dans la cité d'Edoras, la défense s'organisait avec l'efficacité de la précipitation. Tout n'était pas organisé et c'était peut-être mieux. Lorsqu'ils auraient à affronter les uruks déployés pour forcer les portes, ils pouvaient s'attendre à faire du dégât. D'autant plus que les humains se préparaient en silence comparé aux grognements qui leur parvenaient de dehors...

Le roi lui-même participait à la défense de la cité, il lui était inconcevable de la perdre face aux esclaves de ce traître Saroumane.

Un guetteur vint lui annoncer que les elfes s'étaient installés sur une colline avoisinante. Mais il fut déçu par le nombre d'hommes qui s'étaient joints à les alliés... La question n'était pas là pour l'instant, il fallait se préparer à ce que les portes cèdent d'un instant à l'autre sous les coups du bélier... S'ils s'en sortaient, alors, il pourrait alors s'expliquer avec le Gondor...

Ithilwen entendit Gandalf crier de tirer sur les Wargs, la peur aux ventres en les voyant foncer vers eux la prit à l'idée du massacre qui pourrait avoir lieu...

Les flèches volaient en touts sens autour d'elle, les archers placés derrière décohaient sans souffler un seul instant mais ce ne fut pas suffisants pour les abattre tous.

Elle rangea son arc et prit son épée fermement dans sa main et s'apprêtta à abattre du Warg et cela ne tarda plus, le choc fut retentissant et d'une rare violence, plusieurs elfes furent fauchés sur le coup et Ithilwen n'y échappa que de peu...

Elle se battait comme un beau diable comme touts les autres et ils réussirent un peu à les repousser mais ils y en avaient bien trop, où donc étaient les renforts penssa Ithilwen épuisée?

La porte céda dans un grand fracas de bois et les troupes d'Isengard s'enfoncèrent dans la cité en flamme en hurlant leur joie ! Je faisait partit de ceux-là.
Les arbalétriers restèrent en couverture pendant que nous gravîmes la pente.
A l'intérieur de la cité, la défense était plus organisée que prévut et finalement la porte n'était toujours pas sous contrôle. Cependant, avec la masse de troupe que nous possédions, toute résistance était futile et les hommes seraient vite exterminés...

Refusant de se laisser exterminer, la compagnie de la Lòrien, dans un dernier accès de fureur, se batta comme s'ils n'étaient pas épuisés au prix de nombreux blessés et même morts mais à force de détermination et de hargne, ils réussirent à tuer touts les wargs et leurs cavaliers, le dernier fut d'ailleurs tué par un jeune elfe qui participait à son premier grand combat, il enfonça sa lame au plus profond du coeur du warg.

Ils ne prirent pas le temps de compter leurs morts et blessés, ils les laissèrent aux plus faibles mais encore capable de surveiller le campement et d'aider les plus blessés et le restant des elfes foncèrent vers la citée qui commençait à être en flammes et se jetèrent dans la bataille avec férocité, leurs yeux brillaient de rage contre ces créatures immondes, ils firent un véritable carnage.

Ithilwen épuisée, n'hésita pas à se jeter dans la bataille, elle donnerait sa vie pour aider des êtres inocents et pour préserver le plus longtemps possible l'équilibre devenu fragile de La Terre du Milieu.

Morwen ne se battait pas avec moins de hargne. Il s'agissait de son peuple pour une bonne partie, et elle ne pouvait les laisser se faire attaquer ainsi. Il fallait qu'elle se rattrape d'être arrivée en retard.

Elle s'en voulait de voir tous ces elfes qui tombaient sous les coups des ennemis pour défendre leur liberté. Ils n'étaient pas obligés de les aider mais ils étaient venus quand même.
Lorsque le dernier des cavaliers wargs fut tué, elle eut une pensée pour les nains. Pourquoi donc n'étaient-ils pas venus, eux ? Que faisait son ami Gimli ?

Mais elle laissa cette question de côté quand elle entendit que les cris venaient de l'autre versant de la colline. Elle avait pensé qu'ils auraient eu le temps de souffler un peu, mais ce ne fut pas le cas. Déjà il leur fallait aller attaquer les uruks qui, pendant que les elfes étaient occupés avec les wargs, avaient fini par abattre la porte d'Edoras.

Bien heureusement, les habitants avaient eu le temps de s'organiser à la confrontation, ce qui donna un peu de fierté à Morwen dans ce dur moment. Elle était fatiguée de courir dans tous les sens et de frapper à chaque fois. Si son peuple s'était laissé faire sans résistance, elle aurait elle-aussi surement abandonné.

C'est alors qu'elle croisa le regard de son amie Ithilwen dans le flot qui se dirigeait vers les uruks. Elle comprit une nouvelle fois qu'elles ne se battaient pas pour un seul peuple, mais que l'avenir de tous les peuples libres en dépendaient. Alors, ensemble, elles se ruèrent au beau milieu des uruks. La mêlée des elfes faisait du dégât, frappant tous les ennemis qui se trouvaient sur leur passage.

La cavalerie warg était défaite mais des uruks se battaient toujours sur la colline des elfes. Cependant, quelques elfes sûr de la victoire se détachèrent de cette mélée pour attaquer les palissades des uruks en croyant que tous les leurs étaient partis sur Edoras.
Ils furent surpris de voir des carreaux se planter dans le sol et dans les corps de leurs amis !
Et oui, plus d'un milier d'arbalétrier étaient fermement décidé à les empêcher de nous attaquer par derrière ! Le plan fonctionnait à merveille !

Les uruks sur la colline ne tenaient plus, ils leurs fallaient vite s'enfuir sinon, ils étaient tous condamnés.

"-Sonnez la retraite ! Que tout le monde sorte de là, on se regroupe dans la forêt !"

Les uruks étaient épuisés, ils s'enfuirent dans un grand désordre ce qui leurs valut pas mal de pertes supplémentaire.

Dans la cité, la situation était tout autre : les hommes n'avaient pus retenir le flot incessant des uruks et ils avaient perdu la porte ! Les uruks entraient dans la cité. Très rapidement, les arbalétriers se mirent en place sur les murs entourants la porte et se mirent à faire feu sur toutes les cibles potentielles.
La résistance était défaite, et les hommes se cloitrèrent dans le chateau d'or.

"-Mettez des poutres pour les empêcher de sortir de là ! On a besoin de ne plus avoir d'ennemis dans notre dos ! Mettez vous en place pour défendre la citée contre les elfes, achevez les survivants et surtout renforcez la porte, on doit absolument la tenir !"

Tous les uruks partirent à leur tache. Les ingénieurs abandonèrent les baliste et les catapultes après les avoir brûlées pour empêcher les elfes de les utiliser, puis partir renforcer la porte.
Pendant ce temps, les arbalétriers sur la palissade faisaient un grand carnage dans le groupe d'elfe qui tentait désespérément de passer.

"- Ils sont fous, ils ne passeront jamais ! AHAHAHAH!"

Un grand rire tonitruand s'échappa de la palissade et retentit dans la plaine ensenglantée, la citée était tombée ...

Les habitants d'Edoras étaient maintenant retranchés dans le Château d'Or, et les quelques gondoriens mêlés aux elfes se faisaient tirer dessus à coup d'arbalètes ennemies... Gandalf était désespéré... Et il n'était bien sûr pas le seul. Que deviendrait la Terre du Milieu si la capitale du Rohan tombait ? C'était une perspective inconcevable.

C'est avec un certain contentement qu'il vit que les habitants d'Edoras ne s'étaient pas enfermés sans munitions... Lorsque de nombreux uruks se furent rassemblés devant les portes du château, ils versèrent de l'huile bouillante sur eux. Puis des archers visèrent les uruks postés sur les remparts, ceux-là même qui massacraient les elfes... Cela redonna espoir à ceux qui tentaient d'entrer dans la cité. Mais ils n'étaient pas assez nombreux...

Juste au moment où cette pensée s'empara de Gandalf, un son de trmpe retentit derrière lui. Il se retourna brusquement pour voir arriver plus de mille cavaliers du Gondor. Comment avait-il pu les oublier ? Leur arrivée était prévue depuis le début, mais Gandalf n'avait rien voulu en dire à personne, pour que rien ne filtre et que l'effet de surprise soit à son maximum.

Sans tarder, les gondoriens se précipitèrent au secours des elfes. A eux tous ils achevèrent de tuer les ennemis qui n'étaient pas entrés dans la cité puis, avec l'aide précieuse des béliers qu'ils avaient apportés et celle des archers du Rohan qui visaient de l'intérieur, ils parvinrent à briser les portes déjà fragilisées par les premiers entrés qui n'avaient pas eu le temps de consolider les portes comme ils l'auraient voulu. L'affrontement final aura donc lieu dans la cité...

Ithilwen était désepérée, le peu d'elfes dont elle faisait partie, qui essayaient d'entrer dans la citée, se faisaient tirer dessus et ses compagnons d'armes tombaient en masse, elle faisait tout pour tenir le coup, évitant de justesse les carreaux qui volaient en tout sens et parant les inombrables coups d'épées grossières et d'autres armes répugnantes des Uruks...

Ils essayaient d'enfoncer la porte, mais les peux d'entre eux qui essayaient de s'en approcher mourraient transpercés, ils allaient perdre espoir car trop peu nombreux, Ithilwen allait se mettre à implorer Varda de la laisser pénétrer si elle mourrait dans les cavernes de Mandos où son âme attendrait le moment de regagner Valinor lorsque une trompe forte et sridente retentit au non loin d'elle!!!

En un instant un flot de soldats gondoriens se mêlerent aux elfes et ne firent qu'une bouchée des uruks qui restaient et de ceux qui tiraient depuis les remparts, ils en profitèrent pour enfoncer ce qui restait de la porte et ils entrèrent en trombe dans la citée un cris guerrier sortant de leur bouches grandes ouvertes!!!

Epuisée Ithilwen n'abandonna pas, ce n'était guère dans sa nature, ils dévastèrent tout sur leurs passages, aidant les soldats du Rohan à sortir de leur retraite, il ne restait que très peu d'uruk mais ceux qui restait étaient particulièrement coriaces...

Une fois entrée dans la cité, Morwen ne put que déplorer ce qu'avaient fait les uruks. Particulièrement haineuse envers ceux qui avaient détruit la cité où elle avait grandi, et revigorée par l'arrivée de renforts, la jeune femme n'hésita pas à foncer sur le premier uruk qui se trouvait en travers de son chemin... Elle avait entendu une voix rauque l'appeler Alucard, mais son compagnon ne l'avait pas prévenu suffisamment tôt, déjà aux prises avec Ithilwen.

Morwen se précipita, son épée à la main, bien décidée à trancher la tête de ce monstre... Un combat singulier commença.
Voilà qui te fera passer l'envie d'attaquer mon peuple !!!
Et elle lui assena un violent coup qui aurait pu le couper en deux s'il ne s'était pas reculé à temps. Il avait maintenant une grosse entaille sur ce qui lui servait de ventre...

Citation :: Points d'attaque de Morwen : 35

Points de défense d'Alucard avant le coup : 35
Points de vie d'Alucard avant le coup : 20

Points de défense d'Alucard après le coup : 0
Points de vie d'Alucard après le coup : 20

Contente de son oeuvre, Morwen jeta un regard vers Ithilwen. C'est alors avec horreur qu'elle la vit tomber, une entaille qui descendait de sa joue à l'épaule...
Mais déjà un elfe venait achever l'uruk déjà bien amoché par Ithilwen. Si elle l'avait pu, ç'aurait été elle, Morwen, qui se serait précipitée pour l'aider, mais son combat contre Alucard n'était pas terminé...

Alucard s'élança, fou de rage sur l'elfe impérieuse qui l'avait pris en traitre. C'était un combat qu'il ne pouvait gagner mais il était près à donner chèrement sa vie pour voir le premier peuple libre tomber sous la botte géante de son maitre Saroumane !
(Non en fait, il préfère se faire tuer par une humaine que par saroumabne lui-même car ce serait avec infiniment plus de souffrance !)

Alucard lança donc son épée sur l'elfe qui esquiva le coup de justesse mais Alucard était particulièrement rapide et eu le temps d'en asséner un autre que la pauvre femme ne pu éviter.

Citation :: Point d'attaque d'Alucard : 15

Point de défense de Morwen avant le coup : 55
Point de vie de Morwen avant le coup : 30

Point de défense de Morwen après le coup : 40
Point de vie de Morwen après le coup : 30

Les derniers uruks se battaient farouchement et parvinrent à se retrancher près du chateau d'or, mais l'issu du combat était vaine. C'est pour cela que notre dernier chef, qui n'avait pas encore succombé, décida défier les elfes en demandant à quelques guerriers qui ne combattaient pas d'allumer des torches, et de mettre le feu à tout ce qu'ils pouvaient dans la citée.

Le chateau et la plupart des batiment de la citadelle de bois prirent feu presque instantanément.

-HAHAHAHAHA ! Il éclata d'un long rire gutural qui baigna le champs de bataille, stoppant les combattants du bien et du mal dans leur combat d'une rare violence !

-Si cette citée ne peut pas être capturée par nos forces, alors personne ne pourra monter sur le trône du Rohan, telles sont mes paroles, il n'y aura plus de roi en Rohan, j'en fait le serment, au nom de la Main Blanche toute puissante !

Blessée au bras gauche, Morwen était pleine de rage en voyant l'oeuvre des Uruks qui mettaient le feu à sa cité. Elle se remit peu à peu du coup que lui avait donné l'Uruk contre lequel elle combattait.
Le feu autour d'elle fut comme un déclencheur qui redoubla sa combativité. Elle frappa l'Uruk en pleine face et le mit à terre.

Citation :: Points d'attaque de Morwen : 35

Points de défense d'Alucard avant le coup : 0
Points de vie d'Alucard avant le coup : 20

Points de défense d'Alucard après le coup : 0
Points de vie d'Alucard après le coup : 0

Sans prendre le temps de vérifier s'il était mort, elle se précipita près d'Ithilwen qu'elle avait vue tomber. L'Elfe gisait en effet, la main crispée sur son épée encore plantée dans le corps d'un Uruk particulièrement massif.

Admirative de voir qu'elle avait terrassé un monstre si grand, Morwen sentit tout de même les larmes lui monter aux yeux. Qu'allait-elle devenir, si son amie la quittait à cette heure ? A quoi bon rimeraient les batailles sans elle ? Morwen était de ces femmes qui avaient besoin d'avoir quelqu'un à leurs côtés, quelqu'un à qui elles tenaient, afe leur rappeler pour quoi elles se battaient, combien la vie et la liberté méritaient d'être sauvées...
Ses larmes tombaient à présent, sur le visage si blanc de l'Elfe. C'est alors que les yeux de celle-ci se froncèrent et qu'un gémissement s'échappa de sa bouche entr'ouverte. N'attendant pas un instant de plus, Morwen se chargea d'appeler un brancardier pour faire transporter Ithilwen à l'abri de ce désastre...

Il était plus urgent que jamais de tuer les derniers Uruks. Ils n'étaient plus qu'une poignée, mais ils résistaient plus que les peuples libres l'avaient imaginé... Ils avaient maintenant mis feu à la cité...

Gandalf, même s'il était confiant envers les Hommes qui s'étaient retranchés dans le Château d'Or, comprenait l'urgence de la situation : le feu aurait le temps de prendre et de causer de plus graves dégâts.

Mais à présent, le nombre d'Elfes et d'Hommes réunis eut raison des derniers ennemis. La cité était de nouveau libre ! Mais en quel état ! Il faudrait conjuguer toutes les forces présentes pour reconstruire une vie nouvelle... en attendant la prochaine attaque, inévitable, tous le savaient, malheureusement... Mais que faire ? Aller débusquer le Mal sur ses propres terres était proche du suicide... Tant que les issues ressemblaient à celle-ci, personne n'en demandait plus.

Edit : suite du sujet ici

» Après le siège...